Violences post-électorales en guinée : macron invité à condamner publiquement

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Les avocats internationaux du Front National pour la Défense de la Constitution (FNDC) ont écrit une lettre au président de la France pour lui demander de condamner publiquement les cas de violations des droits de l’Homme en lien à la crise post-électorale en Guinée.

Dans  un courrier de cinq pages, Maitres William BOURDON et Vincent BRENGARTH ont justifié cet appel par la récurrence de ces crimes  en Guinée, dont les auteurs ne sont pas inquiétés.

« Nous vous demandons solennellement, au nom du FNDC, de condamner publiquement les crimes commis contre les populations civiles désarmées et surtout l’impunité qui encourage la récurrence de ces crimes et d’œuvrer pour que des enquêtes soient diligentées pour identifier leurs auteurs et les traduire devant les tribunaux. C’est en effet une responsabilité qui incombe au Gouvernement guinéen », lit-on dans ledit courrier.

Plus loin, ces avocats redoutent de nouvelles violences post-électorales face, écrivent-ils, à la volonté du régime de se maintenir au pouvoir malgré la contestation populaire contre le troisième mandat.

« Les craintes de nouvelles violences post-électorales sont redoublées devant la volonté du pouvoir en place de se maintenir devant la contestation populaire contre le troisième mandat et les accusations de graves irrégularités dans le processus électoral au bénéfice de Monsieur Alpha CONDE », ajoutent-ils.

Lire ici l’intégralité du courrier

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